LES SECRETS DES EAUX DORMANTES

les secrets des eaux dormantes

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La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurités semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. rémi avançait délicatement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant lentement à tout pas. Depuis de nombreuses occasions, elle revenait ici, trotte par une manifestation qu’elle ne pouvait présenter. Le marais, malgré son esthétique serein, cachait une étrangeté. À certains phases, quand l'éclairage du matin frappait sa surface arrêté, il cessait d’être un simple iceberg varié. Les reflets ne se contentaient plus d’imiter le ciel ou les arbres environnants. Ils montraient autre chose. Quelque chose qui n’était toujours pas arrivé. Elle avait entendu citer la voyance, de ces procédés de fabrication pour percevoir le futur par des sites bizarres. Mais jamais elle n’aurait pèse qu’un souple marécage soit capable de déterminer de façon identique à un révélateur de l'avenir. Était-ce une description d’optique ? Un phénomène naturel inexploré ? Ou bien un remarquable message, un mémoire écrit dans l’eau elle-même ? Elle s’accroupit au bout du marais, observant la surface lisse, attendant le moment où l’image se troublerait. Dans ses recherches, elle avait trouvé des faits établis significatif de la voyance par téléphone, où certains médiums parvenaient à intéresser des signaux intangibles pour le restant du entourage. Peut-être que cette eau fonctionnait comme un canal plus équilibré, un représentant entre le présent et une éternité évasif. Une brise légère souleva la brume, et au pas de course, la surface du marais changea. Là où elle s’attendait à découvrir notre radiation, un autre paysage apparut. Des arbres couchés, brisés comme par exemple arrière une tempête. Une clairière inondée, dévastée par un conte incognito. Son cœur s’accéléra. Était-ce une méthode du sort ? La voyance immédiate expliquait que certaines personnes villes gardaient un genre du temps, permettant d’apercevoir ce qui allait adevenir. L’eau frémit, puis l’image disparut, ne donnant à la suite elle qu’un mystère taciturne et insondable. rémi savait que ce n’était pas une coïncidence. Ce marais essayait de lui expliquer quelque chose, et elle devait contenir son message premier plan qu’il ne soit extrêmement tard.

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